Une étude de CapGemini démontre que l’entreprise peut réaliser des économies substantielles sur ses achats indirects tout simplement en mettant en œuvre de bonnes pratiques.
Pourquoi ? La moitié des achats indirects sont réalisés hors des canaux habituels. Or, ces achats nécessitent un temps de traitement administratif important, sachant que bien souvent ce type d’achats est réalisé en urgence, sans mise en concurrence.
L’étude montre que les achats dits sauvages représentent jusqu’à 42% des achats indirects.
L’optimisation de leur traitement est donc un vrai défi pour plusieurs raisons : outre le côté chronophage, l’absence de tracking et la mobilisation de ressources qui pourraient être affectées à des tâches à plus forte valeur ajoutée représentent de réels manques à gagner, sans parler au manque de visibilité. Et que dire si le produit ou service n’est pas livré à temps ?
Achats de classe C : d’où vient l’urgence ?
Sans doute parce que les services ou produits ne sont pas disponibles dans des catalogues, qu’il n’y a pas de cahier des charges, que les procédures internes ne sont pas claires pour ces types d’achats et – surtout – qu’il n’existe pas d’outils dédiés.
Les solutions e-Achats
Les solutions e-Achats permettent des commandes via un portail en ligne convivial et un processus transparent en self-service pour les clients.
L’utilisation de formulaires clairs doit éliminer toute ambiguïté et permettre un suivi précis. La mise en concurrence devenant plus facile, l’entreprise doit s’y retrouver.
Une bonne solution doit proposer des fournisseurs en adéquation avec les SLA de l’entreprise, notamment en ce qui concerne les délais de livraison.
Des fonctionnalités de reporting et d’analyses partagées entre les diverses antennes achats permettant de dynamiser les indicateurs de performance (KPI) grâce à plus de transparence en interne. Sans oublier la montée en compétences des équipes achats !